Le travail allégorique de Didier Bourdon utilise des images simples pour créer diverses résonances, recueillies et explorées à travers des dessins. Le but des dessins n’est pas de planifier la peinture éventuelle, mais est un processus de recherche dans le contenu de l’image. La peinture qui en résulte se nourrit de l’expérience des dessins, grandissant peu à peu. Le but n’est pas de contrôler l’image mais de laisser l’image émerger, permettant au subconscient de remonter à la surface.
Différentes techniques sont utilisées ; peinture à l’huile sur toile, fresques, peinture à l’huile sur gesso, pastels à l’huile, etc. Le choix de la technique et la taille de chaque peinture fait partie du processus de création de l’œuvre.
Parallèlement à ce travail de l’imagination – au moyen de la peinture, la lithographie, gravure et pointe sèche – Didier travaille aussi à partir de l’observation à travers des dessins de modèle vivant, qu’il pratique régulièrement depuis ses années d’école d’art. Le dessin, pour lui, est un entraînement du regard, et une occasion d’attraper et de capturer des fragments de vie - avec toute sa magie.
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Le travail allégorique de Didier Bourdon utilise des images simples pour créer diverses résonances, recueillies et explorées à travers des dessins. Le but des dessins n’est pas de planifier la peinture éventuelle, mais est un processus de recherche dans le contenu de l’image. La peinture qui en résulte se nourrit de l’expérience des dessins, grandissant peu à peu. Le but n’est pas de contrôler l’image mais de laisser l’image émerger, permettant au subconscient de remonter à la surface.
Différentes techniques sont utilisées ; peinture à l’huile sur toile, fresques, peinture à l’huile sur gesso, pastels à l’huile, etc. Le choix de la technique et la taille de chaque peinture fait partie du processus de création de l’œuvre.
Parallèlement à ce travail de l’imagination – au moyen de la peinture, la lithographie, gravure et pointe sèche – Didier travaille aussi à partir de l’observation à travers des dessins de modèle vivant, qu’il pratique régulièrement depuis ses années d’école d’art. Le dessin, pour lui, est un entraînement du regard, et une occasion d’attraper et de capturer des fragments de vie - avec toute sa magie.
Didier Bourdon est né à Senlis en 1957. En 1975, il s’installe en Angleterre, et il lui faudra trente-cinq ans avant de retourner vivre dans sa patrie.
En 1987, il s’inscrit à la Norwich School of Art, où il étudie avec Ana Maria Pacheco. Il obtiendra son diplôme en 1991 et recevra le prix de la meilleure peinture figurative par le Norwich Institute of Art and Design.
La même année, il fut accepté comme étudiant à la Royal Academy of Art, à Londres. Il a obtenu son diplôme de troisième cycle en 1994 et, pendant ses trois années à l’Académie, il a reçu trois autres prix : l’Antique Collector’s, le Patterson et la bourse AENAS pour l’Italie. Cela lui a permis de voyager en Italie pour étudier les peintures de la Renaissance, et de travailler, à Sienne, avec le professeur Otello Chiti, qui lui a enseigné les techniques de la fresque.
En 1995, Didier s’installe à Egmond ann Zee, aux Pays-Bas. Au cours des quatorze années suivantes, il a participé à de nombreuses expositions et est devenu membre de la Boterhal Artist Association à Hoorn et de l’Association des artistes KCB et Bergen NH.
En 2010, après trente-cinq ans à l’étranger, Didier rentre chez lui, là où il vit et travaille maintenant, dans la Haute Vallée de l’Aude dans le sud de la France.